Travailler plus pour gagner plus
Contrairement aux apparences, je ne suis pas encore tout à fait morte. Je bosse à mi-temps (douze heures par jour, donc), je rentre tard et m'endors en moins de temps qu'il ne faut pour dire Big BangTheory. Je crois bien qu'il y a un mec à la maison (ça doit être lui qui vide la poubelle), mais je ne fais que le croiser.
Comme je m'effondre dès que je rentre le soir, je me lève tôt, très tôt - même mon chat roupille encore quand j'émerge à 6h du matin un dimanche. Du coup, la connasse qui envoie des mails pro à 7h le week-end, c'est moi (et encore, j'ai justement attendu la barrière psychologique des 7h).
La bonne nouvelle ? Je commence à récolter les fruits de mon boulot. Des accords, des signatures qui s'enchaînent. Il ne me reste plus qu'à poser quelques semaines de vacances pour profiter de ma thune durement gagnée. Et surtout, surtout, pour récupérer.